Nouvelle érotique
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Un été à Paris ou le désir retrouvé

Ah le désir ! Voilà quelque temps que je voulais publier des nouvelles érotiques.

Je suis heureuse d’avoir enfin eu les ovaires de le faire 😁

J’ai souvent écrit des choses érotiques autour du désir féminin sans jamais oser les publier mais maintenant j’ose tout…ou presque.

Voici donc une nouvelle qui colle parfaitement à la moiteur de cet été. Une nouvelle érotique plein de douceur, de désir et de volupté.

 

Voilà l’été qui arrive !

 

Elle ne s’attendait à rien de particulier. Mais compte tenu de leurs nombreux échanges, elle se doutait qu’elle passerait un bon moment en sa compagnie.

Elle avait décidé de réactiver cette application de rencontres alors qu’elle venait à peine de terminer une relation.  Elle ressentait l’envie de le faire sans se poser de questions.

Il est vrai qu’elle avait passé une période très difficile après sa rupture et avait mis du temps à se relever. 

Elle avait pris un mur de plein fouet lorsqu’elle avait rompu après plusieurs mois de relation.

Certes, c’est elle qui avait pris cette décision mais cela n’empêchait pas la vive douleur dans son coeur.

Pour elle, il n’était plus envisageable d’être avec quelqu’un qui ne chemine pas de la même manière qu’elle, qui n’a pas les mêmes envies. 

Elle avait besoin de faire des projets communs, d’amour, de passion…

Voilà, elle avait manqué de passion dans cette relation, que ce soit sur les aspects ordinaires de la relation de couple mais également dans son intimité de femme.

 Elle avait besoin de vibrer, de se sentir bousculée dans ses croyances, dans ses peurs également.

Safia était une femme indépendante très passionnée. Elle savait néanmoins reconnaître les drapeaux rouges et s’extraire d’une relation quand celle-ci ne lui donnait plus entière satisfaction. Son souhait était que ses relations amoureuses soient fluides et que rien en son profond intérieur ne soit bouleversé par une quelconque incertitude. 

Elle croyait mettre plusieurs mois à panser cette plaie qu’elle sentait encore vive de temps en temps. Elle croyait qu’elle ne retrouverait pas de sitôt quelqu’un qui la ferait sourire et permettrait à la lumière de se répandre en elle.

C’était déjà l’été à Paris et depuis qu’elle s’était réinscrite sur cette application, elle avait fait quelques rencontres non concluantes et finit par dire à l’une de ses amies :

« Bon j’en fais une dernière et si ça ne colle pas et bien j’arrête », « Je n’ai pas envie de passer mon temps à chercher quelque chose qui semble vraisemblablement disparu à jamais, un homme qui me VOIT », « Tu comprends, qui me voit !! »

Pourtant il l’intrigue !

Safia a senti dès les premiers échanges que cet homme l’intriguait. A travers les écrans interposés des téléphones, elle se sentait attirée et eu envie de le rencontrer très vite. Malgré le manque de confiance en elle, elle était assez entreprenante comme femme et toujours dans l’action.

Voilà pourquoi elle lui proposa de le rencontrer dans ce magnifique bar d’hôtel un soir d’août, dans une rue calme non loin du brouhaha d’un quartier d’affaires parisien.

Safia n’était pas vraiment une femme timide, mais elle se sentait dans un état fébrile à quelques minutes du rendez-vous.

Elle ferma ses beaux yeux bleus perçants de temps à autre pour se donner du courage et prier en secret pour que cette rencontre se passe bien.

Il arrive 

Elle était déjà bien installée dans un beau fauteuil en cuir lorsqu’il arriva tout souriant. Elle le reconnut tout de suite et sentit son cœur bondir de sa poitrine.

« Hello comment tu vas ? Je suis heureux de te rencontrer Safia »

Elle eut l’impression d’avoir laissé passer plusieurs minutes avant de lui répondre tant elle était chamboulée.

– « Moi aussi je suis très heureuse Ben”. Et elle l’était réellement.

Ils ont refait le monde pendant des heures, ne voyant plus la danse incessante des aiguilles du cadran de l’horloge murale.

Ils avaient tellement de choses en commun : la littérature, le cinéma, la danse…

Elle buvait ses paroles au point que plus rien n’existait autour. Elle se sentait embarquée dans quelque chose qui ne lui appartenait déjà plus.

Ben et les femmes

Ben était un jeune homme très séduisant et totalement conscient de son pouvoir sur les femmes.

Il faisait mine de ne pas voir toutes les paires d’yeux braquées sur lui au quotidien mais il était fascinant par son charme et sa fausse modestie.

Il était également brillant et occupait un poste à haute responsabilité. C’était l’archétype de l’homme confiant et totalement certain de son effet sur les femmes.

Pourtant ce jour-là, il avait du mal à se concentrer durant cette importante réunion. Il dissimulait parfaitement bien sa nervosité devant ses collègues mais il avait de plus en plus de mal à la contenir au fur et à mesure que la rencontre approchait.

 Une fois la réunion terminée, il se dirigea vers son bureau, ferma la porte et s’assit un moment.

« Allez mon grand tout va bien se passer, c’est une femme comme les autres, tu vas juste boire un verre et voir comment elle est…allez mon grand tu vas assurer ! ».

Malgré les quelques rayons de soleil prometteurs durant la journée, il pleuvait des cordes à Paris en ce mois d’août. Ben était habillé d’un beau costume bleu marine et d’un trench noir qu’il ferma aussitôt sorti de son bureau.

Le bar de l’hôtel qu’elle avait proposé se situait à cinq minutes de son lieu de travail. Il y alla donc d’un pas décidé mais non pressé. Laisser le boulot derrière lui et souffler, c’était ce dont il avait besoin, pour se montrer le plus avenant possible avec cette demoiselle qui l’intriguait.

 Il est vrai qu’il avait enchaîné les conquêtes ses derniers mois, après sa dernière histoire d’amour qui a duré quatre ans. Plus question de s’attacher à quelqu’un d’autre. Sa rupture avec Anne avait laissé des séquelles...du moins c’est ce qu’il pensait.

Il savait qu’il allait la reconnaître. Ses photos sur l’application l’avaient beaucoup attiré mais c’est surtout son beau regard bleu qui lui plaisait plus que tout.

Il y avait un ascenseur qui menait directement de la réception de l’hôtel au bar. Il s’y engouffra et en quelques secondes il s’ouvrit sur la grande salle.

C’est là qu’il la vit et c’est là qu’il comprit immédiatement qu’il était dans de beaux draps !

Ses mains

Elle avait du mal à dévier son regard de ses mains.

Elle regardait toujours les mains chez un homme. Selon elle, les mains étaient la porte d’entrée qui permettait de savoir si un homme prenait soin de lui ou pas, s’il était attentif ou pas, s’il était sensuel…ou pas. Elle avait lu cela dans un magazine féminin un jour et depuis elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’il y avait un lien entre les mains de cet homme et sa capacité à la séduire.

Il se sentait intimidé par Safia. Elle pouvait parler de tout avec facilité. C’était une femme intelligente mais elle semblait l’ignorer. Elle passait d’un sujet à un autre avec une telle aisance et toujours avec des yeux brillants et malicieux. Il avait toujours eu un faible pour les brunes aux yeux bleus mais il sentait que son attirance dépassait les simples attributs physiques de Safia.

Elle se sentait bien avec lui, elle buvait son thé avec plaisir tout en l’écoutant attentivement lui parler du dernier livre qu’il a lu.

Il portait merveilleusement bien son costume bleu, qui faisait ressortir la couleur de ses yeux d’un marron chaleureux.

Elle était vraiment bien avec lui. Son envie de lui prendre la main était très forte mais elle n’en fit rien. Elle dut se contenir à plusieurs reprises durant leur rendez-vous.

Il était fasciné par tant de spontanéité et se sincérité. Cette femme semblait irréelle tellement elle lui plaisait et il réalisa que depuis Anne il n’avait jamais été aussi bien avec une autre femme.

Des heures entières s’écoulèrent et nos deux parisiens totalement anonymes dans ce bar durent quitter ce lieu à contre cœur car il était temps de fermer boutique.

« Je n’ai pas vu le temps passer avec toi, merci beaucoup pour cet agréable moment ! »

Safia se sentait soudain triste. Elle n’avait pas envie de le quitter.

Lorsqu’il se leva pour partir elle réalisa qu’il était très grand et sentit qu’elle avait envie qu’il la prenne dans ses bras et lui dise que tout allait bien se passer.

Et comme s’il avait lu dans ses pensées il ajouta :

« Tu me plais beaucoup Safia j’aimerais vraiment te revoir si tu es d’accord ».

Elle sentit ses pieds se dérober et ses mots claquaient dans son cœur comme une douce mélodie harmonieuse. Et elle se surprit à répondre :

– « J’ai aussi très envie de te revoir Ben »

Ils ne pouvaient pas se quitter comme ça !

Ils marchèrent en silence jusqu’au métro et sur le visage de Safia se voyait déjà un signe d’agacement, elle n’avait pas envie de le quitter. C’était un lundi soir il était déjà vingt-trois heures mais elle avait encore envie d’être avec lui…elle réalisa avec stupeur qu’elle avait simplement envie de lui.

Il n’avait pas franchement envie de rentrer non plus…pas tout de suite…pas seul en tout cas.

« Ça te dit de… ».

« Et si nous allions chez moi pour un dernier thé je ne suis pas loin ? ». Safia avait fini par le devancer

« Avec plaisir oui ».

L’appartement de Safia était petit et modeste mais on y sentait de très belles ondes. Il était décoré avec goût et Ben s’est tout de suite senti à l’aise.

Son lit était disposé au milieu de la pièce et il chassa tout de suite les quelques idées farfelues qui lui traversaient l’esprit à sa vue.

Elle mit de l’eau à bouillir et vint le rejoindre sur le canapé à la lueur de quelques bougies qu’elle avait pris le soin d’allumer.

Safia n’avait pas besoin d’un homme dans sa vie, pendant longtemps elle géra toutes les sphères de sa vie sans problèmes, elle n’avait pas besoin d’un homme pour l’y aider…mais elle en avait envie, elle en avait très envie.

Ben lui faisait perdre tous ses moyens surtout lorsqu’il commença à avoir des regards de plus en plus appuyés…tellement appuyés qu’elle ne pouvait plus soutenir son regard par moment.

Pendant qu’elle lui expliquait sa routine matinale durant laquelle elle prenait le temps d’écrire ses pensées, il lui prit la main sans crier gare ce qui la déstabilisa fortement.

« Mais tu as froid ma parole ».

« Non ça va je suis juste… ».

« Juste ? ».

Elle n’eut pas le temps de répondre…

Le souffle coupé 

Elle sentit qu’elle allait défaillir ! Comme l’impression d’être redevenue une petite fille sans défense et pourtant elle espérait fortement ce qui allait suivre.

Il approcha délicatement son visage du sien, elle ne put réprimer un petit soupir

de surprise, pensant qu’il allait l’embrasser. Mais il n’en fit rien. Il s’approcha de son visage de plus en plus près, jusqu’à ce qu’elle sente son souffle. Malgré son assurance, il tremblait un peu. Il approcha délicatement ses lèvres des siennes pour les frôler. Un peu comme pour s’assurer qu’il ne rêvait pas.

Elle se leva au moment où il se décida à la prendre par la taille pour la rapprocher de lui.

« Ah mince la bouilloire ! L’eau est prête pour le thé ».

Il fut sorti de sa torpeur aussitôt ces mots prononcés mais n’a pas fait remarquer sa surprise.

Il n’avait même pas entendu la bouilloire siffler tellement il la désirait.

Elle se faufila dans la cuisine pour apporter le thé et pendant qu’elle s’occupait de cela elle pensa : « Oh mon Dieu je suis folle de cet homme…mais je ne le connais même pas. Je suis folle de penser qu’une histoire est possible avec un homme comme ça ! ».

Plongée dans ses pensées, elle n’a pas entendu Ben entrer dans la cuisine, se mettre derrière elle et la prendre délicatement par la taille. Elle sursauta !

« As-tu besoin d’aide ? ».

« C’est gentil mais ça va aller, c’est prêt » dit-elle en se retournant vers lui.

Elle aperçut son sourire lorsqu’elle se mit face à lui.

Il se rapprocha, remit ses mains sur sa taille pour l’approcher vers lui et l’embrassa tendrement.

Elle sentit tout son être se raidir de plaisir.

Ses lèvres étaient si douces.

Elle sentit une chaleur envahir tout son corps et précisément le bas de son corps.

Il se colla de plus en plus à elle tandis qu’il l’embrassait.

Elle se sentait flotter tellement c’était bon. Sa tête tournait de plus en plus vite.

Leurs langues s’entrelaçaient dans une danse somptueuse sans répit.

Elle sentit le sexe de Ben gonfler au contact de son entre jambe.

Ses mains continuèrent à se balader sur son corps avec un naturel déconcertant, comme s’il l’a connaissait déjà.

Elle perdait tous ses moyens au fur et à mesure que leurs baisers étaient de plus en plus appuyés. Il semblait avoir le mode d’emploi et elle en voulait plus.

Il la tira contre lui et elle la poussa pour lui indiquer qu’il était temps de changer de pièce et de passer aux choses sérieuses.

Elle avait senti sa force quand elle l’écarta pour le précéder dans la pièce principale et cela lui avait donné envie d’en découvrir plus.

Elle prit soin d’allumer quelques bougies avant de lui faire face. Il la regardait avec un air malicieux et grave à la fois. Elle sut tout de suite que ce qui allait suivre serait un point de non-retour. Elle était prête à y plonger sans concession.

C’est elle qui avança vers lui cette fois, elle avait repris confiance en elle et son désir était palpable.

« Embrasse-moi, je veux ta bouche » dit-elle tout de même timidement.

« Vos désirs sont des ordres madame ».

Sans se faire prier ils reprirent leurs baisers comme s’ils ne les avaient pas interrompus.

Ben bascula Safia sur son lit. La lueur des bougies donnait à l’union de leurs deux corps l’impression qu’ils ne faisaient qu’un.

Ben commença à caresser Safia tout en continuant à l’embrasser.

Il glissa sa main le long de son cou et comprit à la vision de sa chair de poule qu’elle appréciait particulièrement. Il maintint sa main fermement sur son cou tout en continuant à l’embrasser de manière de plus en plus intense. La respiration de Safia devenait bruyante. Il sentait qu’elle était excitée par sa main droite qui avait élu domicile sur son cou et sa main gauche qui se baladait à sa guise un peu partout sur son corps.

Elle le caressait aussi partout, sur son cou, ses bras et commença à le déshabiller en déboutonnant petit à petit sa chemise et en dénouant sa cravate.

« Tu sens très bon» dit-elle. 

Elle continua à le déshabiller et laissa découvrir un corps ferme et musclé qui la déstabilisa. Elle se demanda si elle allait lui plaire et étrangement il la rassura comme s’il avait entendu ses pensées :

« Tu es belle, tu me plais vraiment beaucoup ».

Il lui déboutonna également son jean et enleva son pull. Ils se retrouvèrent bientôt en sous-vêtements. Prêts à dévoiler leurs intimités, leurs envies. Prêts à se laisser aller à l’autre sans fausse pudeur.

Elle portait de la lingerie fine, un soutien-gorge en dentelle noire et un string. Lui portait un caleçon ajusté bleu.

Elle adorait son odeur, un mélange d’eau de toilette et d’odeur corporelle. Ça la rendait dingue.

Ils se caressèrent longuement sans se parler, juste en se regardant. Elle lui souriait souvent comme pour lui dire qu’elle était bien avec lui.

Il l’embrassait partout comme s’il voulait découvrir chaque centimètre carré de sa peau. Sa langue passa partout et descendit tout le long de son cou jusqu’à arriver au niveau de ses seins.

Il lui caressait la poitrine délicatement et de plus en plus fermement. Lorsque ses tétons devinrent durs il décida d’y mettre sa bouche pour lui donner du plaisir avec sa langue.

« Oh oui j’adore quand tu me lèches les seins comme ça…encore ».

Elle lui caressa le dos, un dos musclé et assez large. Sa peau était si douce qu’elle avait envie de la mordiller.

Sa respiration s’accéléra pendant qu’il lui léchait les seins gonflés de désir.

Elle laissa ses mains se balader jusqu’à son caleçon et se surprit à y plonger une main.

Son sexe était dur, elle ne l’avait pas encore vu mais le devinait très bien. Elle s’arrangea pour lui enlever son caleçon pendant qu’il continuait à s’occuper de ses seins. Soudainement il lui retira la main du caleçon et entreprit de descendre petit à petit. Elle était allongée, lui était sur elle et quand elle se leva pour protester il la plaqua contre le lit :

« Laisse-moi te faire du bien ma chérie ».

« J’ai tellement envie de toi » dit-elle d’un ton empressé.

Il caressait son corps comme s’il le chérissait plus que tout, ses baisers se propagèrent jusqu’aux cuisses.

Son désir grandit de plus en plus fort tandis qu’il alternait caresses et baisers.

Il arriva enfin au niveau de son bas ventre et elle sentit la chaleur de sa respiration la transpercer comme une épée.

« Maintenant enlève ton string je vais te lécher doucement » demanda-t-il.

« Oui, hum oui lèche moi ».

Elle s’exécuta, obéissante et le laissa pénétrer en son antre.

Elle poussa un petit cri de surprise lorsqu’elle sentit la moiteur de sa langue se poser sur son clitoris. Sa langue était si chaude et si délicate qu’elle ne put refréner son long soupir.

Elle s’installa confortablement et entoura le cou de son amant avec ses jambes de sorte à lui laisser tout le loisir de la travailler avec sa langue. Il sentait son clitoris gonfler sous l’effet de ses coups de langue et elle commençait déjà à perdre la tête tellement c’était bon :

« Oh oui c’est trop bon, hum continue encore ».

« J’adore te goûter comme ça ».

Elle l’arrêta d’un coup avec sa main en éloignant son visage de son sexe :

« Non…stop…je ne veux pas jouir maintenant, pas comme ça ».

Il vint s’allonger à côté d’elle lorsqu’elle se redressa.

Elle se mit sur lui et commença à l’embrasser sur le cou, doucement descendre sur le torse et sentit qu’il appréciait particulièrement ses caresses. Elle continua à l’embrasser tout en parcourant son corps. Son odeur la rendait dingue.

C’était tellement enivrant qu’elle s’arrêtait parfois à certains endroits de son torse pour le sentir, prendre son shoot avant de continuer à descendre. Il respirait fort aussi et la regardait avec beaucoup de désir. Elle lui enleva son caleçon et alors qu’il pensait qu’elle allait le sucer en le regardant. Elle se retourna pour s’offrir à lui en position du soixante-neuf.

Cela le surprit un instant mais il s’agrippa à ses fesses aussitôt pour la lécher dans cette position.

Elle s’empara de son sexe et commença à le sucer doucement en commençant par le gland, elle trouvait très agréable cette sensation. A peine dans sa bouche, elle l’aimait déjà.

Elle enfonça son pénis dans sa gorge petit à petit en l’humidifiant à l’aide de sa langue afin qu’il glisse comme du miel. Safia avait du mal à se concentrer car il lui donnait beaucoup de plaisir et elle commençait à s’abandonner à ses coups de langue.

Elle continua néanmoins à le sucer et il comprit pendant qu’il durcissait dans sa bouche qu’elle adorait ça. Et cela l’excitait encore plus. Il la léchait pendant qu’il caressait ses fesses, ses hanches charnues, pleines de plaisir.

Elle sentit qu’il se raidissait de plus en plus dans sa bouche. Elle allait chercher son plaisir au fond de sa gorge jusqu’à étouffer parfois. Ça l’excitait énormément.

« Oh oui suce moi comme ça j’adore…tu vas me rendre fou ».

« Hum c’est toi qui me rends dingue avec ta langue ». « Tu sens comment je suis toute mouillée ».

« J’aime te sentir tout excitée, j’aime te faire du bien ».

Elle se retourna d’un coup vers lui et l’embrassa avec fougue, laissant s’entremêler leurs deux fluides charnels en parfaite communion.

Ils ne pouvaient pas s’arrêter de se caresser et c’était tellement doux, tellement voluptueux, tellement sincère.

Safia croyait rêver tellement elle se sentait bien.

« J’ai envie de te sentir en moi…prends moi ».

« Donne-moi un préservatif et je suis à toi tout de suite ».

Safia appréhendait la pénétration de manière générale mais elle savait qu’il allait être doux et attentif et elle ne fut pas déçue.

Elle choisit de se mettre sur lui afin de pouvoir contrôler ses mouvements.

Elle le laissa entrer en elle en douceur pendant qu’il lui caressait lentement les seins, la chute des reins et les fesses.

Il l’a troublait tellement qu’elle n’osait pas le regarder.

Elle finit par lever les yeux et le regarder. Il était séduisant et elle hallucinait de se retrouver là avec un parfait inconnu qu’elle venait de rencontrer il y a quelques heures.

Elle le chevauchait en silence en fermant les yeux pour contrôler son plaisir. C’était tellement bon de le sentir en elle, de sentir son sexe taper au fond de son intimité. Elle mouillait de plus en plus et il serrait ses fesses avec ses deux mains de plus en plus fermement

Il s’agrippa à ses hanches et la retourna, faisant en sorte de se retrouver sur elle en missionnaire. Il s’enfonça fort en elle et elle poussa un cri mêlant surprise et plaisir.

« Hum oui vas-y, encore, je veux vraiment te sentir ».

« Tu auras ce que tu veux, je vais te donner tout ce que tu veux ».

Elle enroula ses jambes autour de lui et prit ses aises pour le laisser la visiter en toute sérénité.

Elle sentit que son pénis se raidissait de plus en plus et qu’il prenait vraiment du plaisir

« Tu aimes ? ».

« Oh oui j’adore être en toi comme ça, te faire du bien ».

« Continue, ne t’arrête pas s’il te plait ».

Elle caressait son dos pendant qu’il la pénétrait de plus en plus fort, il ralentissait la cadence uniquement pour l’embrasser et laisser sa langue se mêler à la sienne.

Sa vigueur et sa force la remplissaient de désir.

Elle ferma les yeux et se laissa emporter par ce tourbillon de volupté.

Il y allait de plus en plus en fort et elle mouillait délicieusement.

Par ailleurs, elle sentait qu’il lâchait également prise, qu’il se sentait bien en elle avec ces va-et-vient incessants. Dans une confiance totale, elle s’offrait à lui.

Elle aimait le sentir en elle la fouiller et la pénétrer de la sorte.

Elle sentit qu’il se raidissait de plus en plus et elle s’agrippait à son dos pour le laisser faire.

La respiration de Ben devint de plus en plus forte, comme s’il suffoquait.

Elle sentit une chaleur extrême la couvrir, le plaisir qu’il lui donnait était indescriptible.

Son pénis glissait en elle comme du miel sur une délicieuse pâtisserie et elle en redemandait.

Il ne pouvait plus contenir son plaisir, son envie de venir en elle.

« Je viens, oh oui je viens ».

Enfin, il ne put retenir son râle de plaisir et s’écrasa de tout son poids sur elle.

C’était tellement bon !

Il mit du temps à redescendre mais il ne l’oublia pas pour autant.

Sentant qu’elle n’était pas arrivée au bout, il se retira, reprit le chemin de son intimité et écarta ses cuisses.

« Je ne vais tout de même pas te laisser comme ça ».

Elle croyait rêver.

Il se mit à la lécher longuement et avec fougue.

Elle était tellement excitée qu’elle ne mit pas longtemps avant de pousser à son tour un cri de plaisir strident qui sembla durer une éternité. Elle était terriblement satisfaite et c’est ce qu’elle attendait de lui.

Qu’il la fasse voyager, quelques heures, hors de cette ville dense et remplie d’étrangers.

Lui ne l’était plus désormais.

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